A partir des années 80, au fil de ses déambulations, Pascal Aimar photographie des moments de vie, en Bolivie, à New York, à Barcelone, en Inde ou au Japon.
Rentré à Paris en 1992, il devient photographe de plateau pour le cinéma, puis cadreur et réalisateur pour la télévision. Son travail, guidé par le plaisir de l’instantané, se construit sur les traces de ses maîtres W. Eugène Smith, Henri Cartier-Bresson et Josef Koudelka.
A partir des années 80, au fil de ses déambulations, Pascal Aimar photographie des moments de vie, en Bolivie, à New York, à Barcelone, en Inde ou au Japon.
Rentré à Paris en 1992, il devient photographe de plateau pour le cinéma, puis cadreur et réalisateur pour la télévision. Son travail, guidé par le plaisir de l’instantané, se construit sur les traces de ses maîtres W. Eugène Smith, Henri Cartier-Bresson et Josef Koudelka.
A partir des années 2000, Pascal Aimar change radicalement de forme photographique. A travers trois séries, «Car en sac», «Passantes» et «Foule», construites sur le même principe – des portraits d’inconnus au téléobjectif, en cadrages très serrés – il formalise sa recherche.
Au plus proche des regards perdus dans le vide et dans la ville, il continue de scruter la fragilité des gens dans l’immense solitude de la masse humaine.
Régulièrement publié dans la presse nationale, Pascal Aimar est membre du collectif Tendance Floue depuis 1996.
Quelques dates:
2006 Réalisation d'un documentaire sur le collectif de photographes ”Tendance Floue”.
2019 Lauréat de mission résidence 2018-2020 de la ville de Clermont-Ferrand.
2020 Prix de l’aide au projet aux rencontres de la photographie d’Arles pour « Car en Sac ».